Grâce à une collègue, j'ai eu connaissance d'un numéro du Journal de la Santé ayant développé deux thèmes "neuropsy". Dans ce billet, je vous propose une présentation de quelques données montrant comment la neuropsychologie pourrait, un jour, améliorer la prise en charge des patients atteints de stress post traumatique.

Si l'on fait bien mention de neuropsychologie et de neuropsychologue dans cette intervention, je regrette juste le sous titre de l'article qui dit : "Quand la neurologie traite les traumatismes".

Il s'agit surement d'une petite méprise de la part des intervenants mais il m'importe de souligner que les données font état de résultats à partir de la thérapie cognitivo comportementale (même si elle n'est pas nommée) et de données plus fondamentales en neuropsychologie.

Il y a parfois des glissements qu'il vaut mieux rectifier car, pour le coup, la neurologie ne m'apparait pas centrale dans la démonstration qui est faite. Par contre, il est vrai que les neurologues travaillent, à partir de ce genre d'hypothèse, sur des molécules qui pourraient perturber, bloquer les liens qui permettent à ces souvenirs de se consolider de manière pathologique.